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22/11/2005

La semaine en Euskadi

Voici l'actualité économique de la semaine en Euskadi marquée par de grosses opérations d'investissements à l'étranger. Selon les normes européennes, Euskadi a atteint 5% de chômage, quasiment le plein-emploi technique.

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La semaine en Euskadi

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La société d'Euskadi est donc moins hostile à l'égard de tous ces investissements d'entreprises basques à l'étranger. Le discours sur les effets positifs à long terme de ces flux, vers l'extérieur est donc mieux accepté. Ces opérations sont économiquement indispensables pour l'avenir d'Euskadi dans la compétition européenne et mondiale.

Voici des exemples illustrant cette mondialisation basque et l'entretien du lehendakari Ibarretxe avec Kofi Annan, secrétaire général de l'ONU.

Au moins 7 entreprises informatiques basques s'implantent en Inde, la nouvelle Mecque du secteur

L'Inde est à l'informatique et aux nouvelles technologies ce que la Chine est à l'industrie. Elle est devenue la Mecque du secteur, le lieu « où il faut se trouver » si l'on veut être quelqu'un au plan mondial. Le pays ayant le plus d'universités au monde forme chaque année près de 600 000 ingénieurs informatiques hautement qualifiés, un chiffre très supérieur à celui qui sort des promotions dans toute l'Europe. Toutes les grandes multinationales de l'informatique et des télécommunications possèdent déjà des implantations dans le pays du Ganges.

Au sud du pays, se trouve une ville de 6 millions d'habitants (la cinquième du pays) qui est devenue la capitale du logiciel en Inde, et peut-être dans toute l'Asie. Son nom est Bangalore, que beaucoup appellent déjà « la Silicon Valley indienne ». L'arrivée de centaines d'entreprises étrangères au cours des 10 dernières années a contribué au développement informatique et technologique à des niveaux insoupçonnés il y a une décennie dans un pays de contrastes.

Gaia développe des projets dans ce pays depuis 1997, ils ont servi de pont pour l'entrée de certains de ses associés.

Toutefois, ils sont encore rares ceux qui ont décidé de franchir le pas. On compte sept entreprises basques (trois d'entre elles de Guipúzcoa) ayant une implantation en Inde, un chiffre restreint si l'on compare la vaste présence britannique, allemande et américaine. Ce nombre croîtra bientôt, car « il existe quelques projets sur le points d'être conclus », déclare le directeur des projets internationaux de Gaia, Jokin Garatea, qui vient de revenir d'une mission commerciale dans ce pays entre le 23 et le 30 octobre.

Pour répondre à la demande croissante, l'association finance en compagnie d'une association locale une incubatrice d'entreprises à Bangalore. Dans ses installations sont en cours déjà 11 projets d'entreprise de différents pays, l'un d'eux basque, dans le cadre desquels travailleront près de 40 personnes. Dans le même temps, elle collabore dans cette même ville à la conception et au développement d'un parc technologique pour l'implantation d'entreprises européennes, appelé Eurotech Park.

Résumé de l'information publiée dans Diario Vasco, le 13 novembre 2005

CIE ouvre sa première usine en Chine et crée une centrale d'achats de matières premières

Le groupe basque automobile CIE Automotive a décidé d'aborder ce qu'il savait être inévitable. La compagnie issue de la fusion de Corporación Egaña et de GSB investira trois millions d'euros dans son premier site en Chine, dans lequel elle fournira un emploi à une centaine de personnes, et qui sera opérationnel au premier semestre 2006.

L'usine, propriété à 100 % du groupe ayant son siège à Azkoitia, sera située dans la région de Shanghai, épicentre de l'automobile en Asie. L'entrée de CIE en Chine ne se limite pas à une implantation productive. Une centrale d'achats pour l'approvisionnement à prix réduits de matières premières et de composants sera créée pour ravitailler ses usines dans le monde entier.

L'usine, de 2400 mètres carrés, se consacrera à l'étampage et sous-montage de composants automobiles.

Le conseiller délégué du groupe, Ignacio Martín, a considéré que la Chine est un marché stratégique dans le secteur automobile, « dans lequel nous devons nous trouver si nous voulons être plus compétitifs ».

L'entrée en Chine était une question de temps pour un groupe qui a connu une forte croissance au cours des trois dernières années, depuis la fusion de Egaña et GSB. Le groupe est passé d'une facturation de 537 millions en 2002 à 741 en 2004. Martín avait déjà déclaré l'année dernière que l'entreprise avait des vues sur la Chine et la zone Nafta (Mexique, États-Unis et Canada) pour poursuivre sa croissance.

La nouvelle de l'implantation en Chine, a lieu à peine un moins après que le groupe a annoncé un investissement de 14 millions dans sa nouvelle usine de la République tchèque (la quatrième du pays) pour faire face à une commande de Opel de 600 000 essieux arrières par an pour ses modèles Astra, Zafira et Meriva, dans laquelle travailleront également une centaine personnes.

Le groupe CIE est formé par 30 entreprises et plus de 6000 employés. Il possède des sites de production en Espagne, au Portugal, en République tchèque, au Brésil et au Mexique. A Guipúzcoa, il dispose d'installations à Azkoitia, Legazpi, Andoain et Eibar.

Résumé de l'information publiée dans Diario Vasco, le 16 novembre 2005

Maier investit 10 millions en Tchéquie

Maier, coopérative spécialisée dans la production de composants pour le secteur de l'automobile et intégrée à Mondragón Corporación Cooperativa (MCC), investira 10 millions d'euros dans un nouveau site de production en Tchéquie.

L'usine sera située dans la localité tchèque de Prostejov, dans la région de Moldavie, à 50 km Brno. Elle fera 6500 mètres carrés destinés aux installations de production et de stockage. Elle commencera à produire en juin 2006 et disposera d'un effectif de 200 employés.

L'investissement en Tchéquie répond à la stratégie d'internationalisation de Maier de prêter des services à ses clients situés en Europe de l'Est, comme c'est le cas du Groupe PSA, Renault, Volkswagen, Toyota, GM, et les grands fournisseurs tels que le Groupe Antolín, Plástica Omnium, Faurecia et Visteon.

Le site tchèque pourra fournir des clients de Tchéquie, de Slovaquie et de la Pologne.

Les prévisions de chiffre d'affaires de ce site à quatre ans sont de 15 millions. Pour ce qui est des prévisions du Groupe Maier pour l'exercice 2005, elles situent son chiffre d'affaires à près de 20 millions dont 60 % proviendront des ventes internationales.

Résumé de l'information publiée dans Cinco Días, le 16 novembre 2005

Le Groupe Amaya Tellería investit en Slovaquie 12,5 millions

Industrias Amaya Tellería, entreprise se consacrant à l'industrie auxiliaire de l'automobile située dans la localité d'Ermua, investira 12,5 millions d'euros dans son usine qui ouvrira à Sucany, région de Zilina, en Slovaquie centrale, qui lancera sa production début 2006. Selon l'Office commercial espagnol à Bratislava, l'usine qui emploiera près de 200 personnes, fabriquera des composants pour l'industrie de l'automobile, des pièces de fonte en acier et aluminium, ses principaux clients étant Renault, PSA Peugeot, Citroën, Seat, Ford et General Motors.

L'installation sera exécutée en deux étapes : au cours de la première, qui a déjà démarré, sera installé un atelier de mécanisation ; pendant la seconde, sera construite une fonderie d'aluminium, d'une capacité de 1200 tonnes. Pour développer son projet en Slovaquie, l'entreprise de Biscaye a créé une filiale slovaque, baptisée MAR Sk, ayant son siège à Martin, dans la région de Zilina.

Il convient de souligner que dans la région de Martin sont en train de s'installer d'autres entreprises étrangères, qui, comme le groupe Amaya Tellería, contribuent à son développement économique. Récemment, le fabricant nord-américain de roulements, Glacier Garlock Bearings a investi huit millions d'euros dans une usine qui emploiera 150 personnes. Actuellement, est en cours de négociation l'établissement de l'entreprise Hranipex, fabricante de matériel pour l'industrie du meuble.

Résumé de l'information publiée dans Europa, le 1er octobre 2005

Ibarretxe rappelle à Annan le besoin de combiner la solidarité à l'identité propre

Le Président du Gouvernement basque Juan José Ibarretxe a rencontré à Tunis le secrétaire général de l'Organisation des Nations-Unies (ONU), Kofi Annan, et lui a remis les conclusions du 2ème Sommet mondial contre la Fracture numérique qui s'est tenu la semaine dernière à Bilbao. Ce décalogue, comme l'a assuré Annan au président du Gouvernement basque, sera communiqué en tant que document de travail au Sommet mondial de la Société de l'Information (CSMSI) qui débute aujourd'hui mercredi, à Tunis.

Lors de sa rencontre avec Annan, le lehendakari a fait part au secrétaire général de l'ONU qu'il est « évident » que de nouveaux acteurs surgissent sur la scène internationale, et dans ce sens, il a souligné que « les nations qui ne sont pas des États, les régions et les villes sont de nouveaux acteurs sur la scène internationale », ce qui, d'après ses explications, « ne prétend pas nier le rôle des autres, car les états ont un rôle, mais il y a bien de nouveaux acteurs réclamant un rôle sur la scène internationale ».

Le chef de l'Exécutif basque a expliqué à Annan que la Déclaration de Bilbao représente « un pas en avant très important qui tente de combiner deux grands concepts : celui de la solidarité et celui de l'identité ». La solidarité, parce que les nouvelles technologies de l'information ne peuvent pas continuer à créer « de plus en plus de distance entre les différents pays, ni dans les pays eux-mêmes, il faut donc être solidaires ». Pour ce qui est de l'identité, Ibarretxe a signalé que « nous ne pouvons pas accepter que les nouvelles technologies de l'information ou de l'Internet ne se consacrent qu'à liquider d'un coup de balai de nombreux cultures, langues et peuples millénaires dans le monde entier ».

Résumé de l'information publiée dans Deia, le 16 novembre 2005

Industrias Tajo investira 10 millions dans ses sites de Tchéquie et de Pologne

Industrias Tajo, compagnie intégrée à la division des composants de Mondragón Cooperación Cooperativa (MCC) et se consacrant à l'injection de pièces plastiques pour les secteurs de l'automobile et de l'électroménager, investira un total de 10 millions d'euros dans la mise en marche et la dotation de moyens de production dans ses usines de la République tchèque et de Pologne.

La stratégie de l'entreprise de Guipúzcoa visant à accompagner ses clients dans ses implantations pour « ne perdre aucune occasion » a motivé la décision d'ouvrir ces deux sites, qui sont accompagnés de projets concrets pour certains de leurs clients.

L'investissement conjoint destiné à mettre en marche les deux usines atteindra dans un délai de trois ans les 10 millions d'euros. La construction de halles avoisinera les trois millions d'euros, et Tajo a prévu la dotation d'un total de 25 machines d'injection, d'un coût de sept millions d'euros, qui s'intégreront progressivement sur une durée de trois ans.

A l'heure actuelle, Tajo fournit déjà des pièces pour pompes d'aspiration de combustible pour le site de Siemens VDO en Tchéquie à partir d'installations provisoires et avant la fin de l'année, l'entreprise espère transférer cette production sur son nouveau site. Ils fabriqueront également sur place le tableau de détente de la remplaçante de la Renault Laguna.

Dans le même schéma, Tajo a créé une société dénommée Tabiplast Spz, située à Worzclaw. On estime que cette usine se mettra à produire au cours du premier semestre 2006 et elle est orientée initialement vers les clients de l'électroménager. Lors de son démarrage, un des principaux clients de Tabiplast sera Electrolux, bien que l'on espère obtenir de nouveaux projets, le groupe Fagor-Brandt étant l'un des clients potentiels.

Résumé de l'information publiée dans Europa, le 1er octobre 2005

Ikor installe les bases destinées à multiplier par deux sa taille pendant la période 2005-2008

Ikor Sistemas Electrónicos a conçu un plan stratégique 2005-2008 avec lequel il prétend devenir l'une des références européennes en matière de conception et de fabrication de solutions électroniques pour l'industrie. Le projet portera principalement sur les secteurs de l'innovation et de la fabrication pour créer la capacité suffisante pour doubler les ventes et l'effectif qui s'élèvera à 600 personnes en fin de période.

La consolidation de l'innovation a reçu un grand élan avec la création en juin de l'Ikor Technology Centre (ITC), société qui prendra en charge toutes les activités de R&D+i du groupe et qui regroupe déjà 29 technologues. Cette filiale, intégrée au réseau basque Saretek, aborde des projets tels que la création d'une nouvelle génération de régulateurs de puissance pour moteurs, la conception de circuits flexibles pour le secteur de l'automobile, ou l'application de technologies « zigbee » dans la transmission d'information par radio fréquence.

La consolidation industrielle concernera ses actuels sites de Saint Sébastien (Ikor) et de Guadalajara-Mexique (Mexikor), et s'étendra sous peu à la Chine. Elle étudie, par ailleurs, la possibilité de s'implanter en Europe de l'Est, installation qui s'articulerait comme un site complémentaire à celui de Saint Sébastien.

La nouvelle usine de Chine, dont le démarrage de la production est prévu pour avril 2006, se dressera à Suzhou, à 85 km de Shanghai, où elle disposera de 12000 m2 utiles. Initialement, le site disposera de deux lignes automatiques et de trois lignes conventionnelles pour le montage électronique. La production servira à répondre à la demande de ses clients en Asie et dans d'autres parties du monde.

Ikor, en outre, a agrandi ses installations mexicaines et dispose désormais de deux lignes automatiques et de trois lignes conventionnelles. Ce développement couvrira l'accord signé avec une entreprise allemande destiné à la fabrication de produits électroniques pour des clients du secteur de l'électroménager en Amérique du Nord.

Les investissements à Saint Sébastien, pour leur part, se centreront sur l'amélioration de l'efficacité et de la précision de ses lignes de montage d'éléments électroniques avec de nouvelles lignes automatiques et l'implantation de systèmes de vision optique qui optimiseront toutes les procédures de la qualité. L'entreprise a également lancé le plan pour la construction d'un entrepôt automatique de matière première. L'installation occupera 200 m3 et sera consacrée à la gestion intelligente de plus de 12 000 références de composants.

Résumé de l'information publiée dans Empresa XXI, le 15 octobre 2005

Manifeste pour les élections de 2024 du Parti Démocrate Européen
PDE-EDP